CE QUI S’IMPOSE est une série politique. Humbles constats ou peut-être un peu plus déjà. Aux yeux ouverts du matin, ce qui est évident, dès lors qu’on frotte un peu. Vues politiques: ce qui s’impose à nous, qui nous est imposé. Ce qu’il nous appartient de faire aussi. CE QUI S’IMPOSE N°3: Mes classes vendangeuses. […]
Ce livre est une étape. Il compile la plupart des poèmes de De deux en deux 1, De deux en deux 2 et +/-, dont certains ont bénéficié de quelques altérations. Il comporte aussi une quatrième partie inédite intitulée Dieux, rêves et sensations. Il a été tiré et relié en reliure japonaise à environ 80 […]
CE QUI S’IMPOSE est une série politique. Humbles constats ou peut-être un peu plus déjà. Aux yeux ouverts du matin, ce qui est évident, dès lors qu’on frotte un peu. Vus politiques: ce qui s’impose à nous, qui nous est imposé. Ce qu’il nous appartient de faire aussi. CE QUI S’IMPOSE N°2: Être quelqu’un […]
CE QUI S’IMPOSE est une série politique. Humbles constats ou peut-être un peu plus déjà. Aux yeux ouverts du matin, ce qui est évident, dès lors qu’on frotte un peu. Vus politiques: ce qui s’impose à nous, qui nous est imposé. Ce qu’il nous appartient de faire aussi. CE QUI S’IMPOSE N°1: Capitales libérales […]
NU aurait dû paraître, s’il avait été fini à temps, dans le fanzine Breuil Exuviable édité en Mars 2018 par Duplidocus, un collectif d’impression disposant d’un duplicopieur hébergé au 102 à Grenoble. Ce fanzine a eu un deuxième numéro intitulé Ligne Point Mur en octobre 2018 et en aura sans doute d’autres.
ce qui tient dans nos corps est assez. je vais ne rien faire de plus. bien sûr il y a le nécessaire à la survie pour le reste nous possédons déjà toute l’énergie l’ennui n’existe pas l’impuissance oui.
s’enfoncer et sentir lentement très lentement qui se confondent être vivant animal humain
s’enfoncer et sentir lentement très lentement qui se confondent être vivant animal humain
Santiago laisse-moi fumer encore un peu, tu me fais presque rire ! avec tes tours abominables – ah, je n’irai pas les voir, crois-moi tes tours qui ont pensé trouver l’air pur mais ont été trop lentes trop lentes, n’est-ce pas un crime ? ah Santiago comme tu me fais rire laisse-moi tirer encore un peu